Faut-il être masochiste pour se faire coacher ?

Faut-il être masochiste pour se faire coacher ?

Faut-il être masochiste pour être coaché(e) ?

En  2006, j’ai fait une rencontre qui a changé ma VIE et qui m’a beaucoup fait souffrir. J’ai pleuré beaucoup car il m’a touché en me disant en face tout ce que j’avais peur d’entendre et de lire dans le regard des autres.

Il a vu mon Inexpérience, mon manque de confiance en moi, mon manque de culture, de connaissance. MAIS, il m’a dit, SI TU VEUX TU PEUX, tu en es CAPABLE. Acceptes-tu de relever ce défi ?

J’ai accepté, et pendant des mois et encore aujourd’hui parfois, il m’a COACHE, il m’a APPRIS énormément sur l’entreprise en général en me disant, je te donne une Base à toi de faire le reste.

Ce titre, légèrement provocateur pour vous faire réagir, et pour définir une réalité qui en fait en regroupe plusieurs parmi lesquelles :

La résistance au changement ; 

La difficulté à sortir de sa zone de confort ;

Le plafond de verre que l’on se crée ;

Au cours de mes échanges, je me rends compte que souvent j’entends « je sais bien Mais » . C’est précisément ce « Mais » qui fait toute la différence.

Vous le savez déjà, ce simple mot « Mais » rassemble à lui seul, toutes vos peurs, toutes vos croyances, tous vos blocages. En résumé, tout ce qui vous empêche d’agir pour réaliser ce que vous souhaitez.

Vous vous trouvez mille et une raisons pour justifier ce blocage. Pourtant au fond de vous, vous avez parfaitement conscience que, Oui, ce ne sont que de fausses excuses.

Et au final, le temps passe et vous subissez votre vie, plus que vous ne la vivez. Rien que ça, c’est une souffrance.

Si vous lisez ces lignes, c’est qu’il est possible d’agir et faire de votre vie, celle dont vous rêvez.

Il n’y a pas de recettes magiques pour avoir ce déclic. C’est le premier Pas, le plus important et le plus difficile aussi.

Si vous faites le choix d’être coaché, sachez que ce n’est pas seulement une partie de plaisir non plus. Ce n’est pas facile d’être coaché(e) . Ca demande du courage et de belles qualités.

A priori, ça ne coule pas de source, vous vous imaginez sûrement, que ceux qui se font coachés sont tout contents d’être aidés, accompagnés dans la réalisation de leurs rêves, de leurs objectifs.

Ils sont écoutés, cocoonés, et le pompon, tout se met en place, et fonctionne !

Yes, c’est fabuleux, le monde des Bisounours à portée de main…

Sauf que non, en fait !

Car être coaché(e), c’est avant toute chose accepter de :

  • Se confier sans fard et sans filtre ;
  • Accepter de se remettre en question ;
  • Accepter la critique ;
  • Dépasser ses freins ;
  • Construire au-delà de sa zone de confort.

Alors, oui, évidemment que la fin est heureuse, mais ça demande avant tout d’accepter de regarder là où ça fait mal, de s’y confronter, pour mieux s’en affranchir et s’en libérer.

J’ai vu et/ou entendu la plupart de mes clients souffrir, pleurer, et traverser tout un arc en ciel d’émotions pour arriver aux sourires, rires, sentiment de fierté, de joie et de bonheur.

Tout ça pour vous dire, qu’il faut être prêt, si vous ne l’êtes pas, même si vous avez le meilleur coach/accompagnateur etc… du monde, si vous n’avez pas pris la décision en votre for intérieur, il ne se passera rien car, le rôle du Coach est simplement de vous accompagner, de vous prendre la main, mais c’est votre Chemin.

Si cet article vous a aidé, ou si vous pensez qu’il peut aider quelqu’un qui a besoin d’un Coup de Pouce, likez, partagez, commentez votre expérience !

Et, si vous vous pensez que je peux vous Apporter un coup de pouce, envoyez-moi un message. C’est le premier pas.

Merci et à bientôt, belle journée !

 

Le regard des autres

Le regard des autres

Le regard des autres,

cet article nous concerne tous, car tout le monde a vécu au moins une fois une de ces situations:

  • Ne pas danser alors que vous en aviez envie ?
  • Ne pas porter un vêtement, des chaussures, qui vous plaisent par peur du ridicule ?
  • Ne pas aborder quelqu’un, alors que vous en mourrez d’envie ?
  • Ne pas poser une question, tout en sachant que les seules questions bêtes sont celles qui ne sont pas posées ?

J’ai vécu plusieurs de ces situations et, en fait, je me bloquais moi-même à cause du regard des autres, au final je loupais une occasion de faire ou dire quelque chose qui me plaît, par peur d’éventuellement déplaire à une personne ou plusieurs, ou les choquer.

De l’autocensure ! Qui ne s’est jamais autocensuré ?

Evidemment, se libérer du regard des autres est plus facile à dire qu’à faire. Finalement, comme beaucoup de choses, ça mérite un petit effort et d’y aller « step by step ».

Pour ma part, j’ai commencé avec les talons, ça n’a l’air de rien, dit comme ça, mais m’autoriser à porter des escarpins alors que je mesure 1.83 m, croyez-moi, ce n’était pas évident, et j’ai mis très longtemps avant de m’autoriser l’achat de ces chaussures tant convoitées.

C’était vraiment difficile, imaginez-vous, je dépasse 99% des femmes et 90% des hommes, autant dire que dans la rue, tout le monde me voit, au supermarché, c’est à moi qu’on demande d’attraper le paquet de pâtes trop haut.

Et, le pompon dans tout ça, Chéri mesure seulement 1.76 m, je le dépasse donc déjà de 7 cm et avec des talons, vous voyez le tableau, je lui mange littéralement sur la tête !

Alors, je ne vais pas vous mentir, j’ai essuyé par mal de remarques, du style, « tu n’es pas assez grande comme ça ? » , « c’est sûr que on ne peut pas te perdre dans la foule », etc…

Le fameux « regard des autres », j’ai été blessée, touchée mais pas coulée comme on dit.

Il faut encaisser, si on a la répartie facile, répondre avec humour.

C’est comme tout, ça s’apprend, mais surtout, après, on se dit:

je me suis privée pendant ces années, JUSTE POUR CA !!!

Ma vie a changé, et la vôtre, peut aussi changer.

Levez vos freins, pensez à la pire chose qui puisse vous arriver ! Imaginons que vous vouliez danser : la musique est entraînante, vous vous sentez léger/légère, votre corps commence même à onduler, mais vous hésitez.

Personne n’ose, tout le monde va vous regarder, et remarquer que vous ne connaissez pas les pas exacts.

Et pire encore, vous tombez ! Le pompon, la catastrophe avec en prime, votre boss qui est là !!! (oui, oui, c’est gratiné comme situation)

Franchement, que faut-il en retenir ? Le regard des autres, qui secrètement jalouseront votre liberté ? Et par réflexe, habitude, vont critiquer votre prestation ?

Pourtant au final, qu’est-ce que vous allez en retenir ?

Vous avez osé, vous vous êtes amusé(e), ce moment restera gravé dans votre mémoire, et vous recommencerez !

Et j’irais encore plus loin, en vous racontant, que ce même public, et même votre boss finiront avec le recul par louer votre prise de risque, votre liberté, voir votre leadership, si votre geste a incité les autres à vous rejoindre.

😀 Bon weekend et dansez maintenant !

Si cet article vous a plu, et peut aider une personne, likez, partagez, et racontez moi vos expériences  😀 

Je remercie M. Jean-Claude LALOU qui a gentiment accepté de relire et corriger cet article.

 

 

 

 

Procrastiner après un succès

Procrastiner après un succès

La Procrastination après l’action ?

Ou l’art de remettre à demain ce que l’on peut faire aujourd’hui.après avoir été très efficace.

Ce sujet a été traité à d’innombrables reprises, mais malgré une recherche Google, je n’ai rien trouvé sur ce type de procrastination en particulier, celle qui arrive après avoir été efficace.

L’idée de cet article m’est venu en constatant que bien souvent après un RDV important, la fin d’une mission, les minutes qui suivent, on prend un repos bien mérité, et parfois ces minutes deviennent des ½ heures voire une heure entière ou plusieurs.

Et au-delà du fait que buller sans y prendre un réel plaisir n’est pas très attrayant, un 2nd constat s’impose, il est fort probable que vous ressentiez même une culpabilité face à cette pause prolongée.

Nous voilà donc avec 2 ressentis qui ne sont pas très agréables, alors qu’au départ, l’idée était de faire une simple pause pour célébrer une petite victoire.

Heureusement, pas de fatalité, et il est tout à fait possible de ne pas procrastiner.

Ma solution est toute simple, profitez vraiment de cette pause, déterminer fermement sa durée. Et après, reprenez doucement sur des actions simples, rapides et qui vous donneront le sentiment d’avoir accompli quelque chose, (on ne parle donc pas de vider sa corbeille à papier) 

Commencer déjà par communiquer sur cette action qui vous a rendu fier et heureux, resté dans cette dynamique heureuse et positive aussi longtemps que possible.

Ensuite, recommencer sur des tâches simples, rapides, et dans lesquels vous prenez du plaisir, pas un truc chiant du style enregistrer vos notes de frais.

L’idée est de vous sentir efficace, vous barrez des tâches de votre to-do list.

Il y a toujours des petites tâches à effectuer qui ne prennent pas beaucoup de temps mais qui sont importantes.

Vous pouvez aussi en profiter pour faire tout ce que vous n’avez jamais le temps de faire d’habitude, ranger votre bureau, répondre à certains mails, faire de la veille, lire les articles qu’on vous a envoyé, etc…

Ainsi, vous vous sentirez bien car vous aurez « travaillé » et vous n’aurez pas procrastiné !

Si ce court article vous a plu, n’hésitez à le partager et tagger ceux qui sont concernés.

A bientôt, 

Finalement je vais vous laisser sur cet extrait du poème « Je travaille » de Victor Hugo qu’un membre bienveillant de mon réseau vient de me faire découvrir.

Je travaille.

A quoi ? Mais… à tout ;

car la pensée Est une vaste porte à chaque instant poussée

Par ces passants qu’on nomme Honneur, Devoir, Raison, Deuil,

et qui tous ont droit d’entrer dans la maison.

Je regarde là-haut le jour éternel poindre ;

A qui voit plus de ciel la terre semble moindre ;

J’offre aux morts, dans mon âme en proie au choc des vents,

Leur souvenir accru de l’oubli des vivants.

Oui, je travaille, amis !

oui, j’écris, oui, je pense !

L’apaisement superbe étant la récompense

De l’homme qui, saignant, et calme néanmoins,

Tâche de songer plus afin de souffrir moins.

 

L’envie de réussir, vivre ses rêves !

L’envie de réussir, vivre ses rêves !

Just do It, vivre ses rêves, un rêve accessible à tous !

 

Un article pas comme les autres aujourd’hui, ou clairement, je ne vais pas vous apporter des conseils et des solutions concrètes à un problème.

 

Cet article est dédié à la force de l’action au-delà de la motivation, j’aimerais qu’il vous anime et réveille en vous :

L’envie, la rage de vaincre, la niak, l’ambition.

 

Vos rêves sont à portée de main, mais parfois, et même trop souvent le quotidien vous emporte. Je sais que le quotidien, n’est pas toujours facile, qu’il apporte des petites joies, mais et si vous pouviez avoir plus ? Avoir la vie de vos rêves, ou vous en approcher, sans avoir à gagner au loto ?

 

Ce n’est heureusement pas une fatalité, et il n’est jamais trop tard !

 

L’idée est de retrouver cette flamme initiale, qui va vous permettre d’agir concrètement vers vos objectifs.

  • Oui, vous pouvez devenir plus beau (mince, mieux habillé, séduisant, etc…);
  • Oui, vous pouvez devenir plus riche, plus performant;…
  • Oui, vous pouvez avoir plus de temps !

 

Bien entendu, un coaching peut vous aider, car vous allez être accompagné personnellement et de près, vous n’aurez plus d’excuses pour ne pas réussir.

Mais seul aussi, c’est possible avec de la rigueur, de la méthode, du travail, de la persévérance, on y arrive à condition sine qua none d’accepter de sortir de sa zone de confort.

 

D’ailleurs, au final, n’est-ce pas là aussi une peur qui vous paralyse au point de ne rien faire ? La peur de réussir est au moins aussi forte que celle de l’échec !

 

Je ne dis pas d’être tête brûlée et de ne pas penser aux conséquences, je dis et vous répète, qu’il faut penser aussi à toutes les conséquences de ne pas agir, vous perdez un temps précieux, on n’a qu’une vie, ne la gâchez pas, vivez vos rêves !

 

L’idée d’être une donneuse de leçons, vraiment ce n’est pas ma tasse de thé, mais !

J’aime voir les gens se démener pour leurs projets, être heureux, vivre dans l’action et le concret.

 

Ne soyez pas spectateur de votre propre vie !

 

Bien sûr il y a des contraintes, c’est un chemin qui n’est pas aussi droit qu’une autoroute, il y a des embûches, des retards, mais au final, vos rêves le valent bien non ?

 

J’espère vous avoir redonner confiance avec ces quelques mots, et inspirer, voire retrouver vos rêves, ne les oubliez jamais !

 

Si vous souhaitez que je vous accompagne dans ce challenge vers la réalisation de vos rêves, contactez-moi et parlons-en !

 

A bientôt !

Le blues du dimanche soir

Le blues du dimanche soir

Le blues du dimanche soir, comment bien profiter de cette dernière soirée du weekend ?

 

 52% des français dépriment à ce moment précis, alors pourtant que l’on est toujours en weekend, que l’on devrait profiter de ces derniers moments et bien non, on déprime.

D’ailleurs, je fais moi-même partie de ces 52%, je n’ai jamais aimé le dimanche soir, mes parents non plus d’ailleurs.

Alors les raisons sont nombreuses, avec en tête bien sûr, la reprise de la semaine, car vous l’aurez sans doute remarqué, en vacances pas de blues du dimanche soir.

Il y a peut-être d’autres raisons mais l’objet de cet article est de vous faire part de mes solutions qui font qu’aujourd’hui le dimanche soir ne me stresse plus, et ne m’angoisse plus.

1 : Aller au cinéma, ça détend, avant pendant et après !
Avant, on prend le temps d’aller sur allociné, lire les critiques, regarder les bandes annonces, se préparer…Pendant, on en profite sans gêner ses voisins, avec ses papiers de bonbons ! Et après, on en parle, on y réfléchit.

2 : Créer une habitude positive.
Décréter que le dimanche soir, c’est le moment où vous prenez soin de vous et où vous vous faites plaisir, seul(e), en couple, en famille.
Que ce soit pour faire de la cuisine, recevoir des amis pour un apéro, faire un après-midi/soirée DVD, jeux de société, cocooning, peu importe. L’idée est de créer un rituel positif.

3 : Faire du sport
Un footing, aller à la salle de sport, faire un entrainement de foot, etc… peu importe défoulez-vous, oubliez tout, et prenez soin de vous !

A vous ensuite de trouver la formule qui vous convient. Le principal étant de trouver la SOLUTION pour que vous puissiez enfin profiter de votre weekend à 100% !

Si vous avez des solutions à partager, n’hésitez pas à le faire dans vos commentaires.